Conseiller en protection sociale Nîmes (Gard / Languedoc-Roussillon) et expert bilan de retraite en fonction des régimes obligatoires et complémentaires. Notre service spécialisé, recherche pour vous la meilleure assurance vie et se charge de l'optimisation de la rémunération du chef d'entreprise dans le cadre d'une stratégie patrimoniale globale à Montpellier.
Votre situation professionnelle et personnelle détermine votre protection sociale. Pour l’optimiser, il vous faut prendre en compte tous les aspects des régimes auxquels vous êtes soumis :
Notre département expert en protection sociale vous apporte des outils logiciels pour simuler les solutions proposées et s’appuie sur une connaissance approfondie des conventions collectives.
Le conseil et le suivi en protection sociale peut s’appliquer à une situation personnelle et à votre entreprise :régimes des salariés, plans complémentaires, Loi Madelin...
Notre consultant Assemble :
Serge BUCHACA Étude et audit social. DU Institut des Assurances de Lyon, Université Lyon III Certificat Paris Dauphine : Retraite et prévoyances des dirigeants salariés & TNS Serge BUCHACA est depuis 30 ans spécialiste de la protection sociale, experts des régimes obligatoires et complémentaires. |
oui, vous risquez tout simplement de payer un contrat strictement pour rien.
En effet, un contrat d’assurance repose sur la bonne foi des deux parties. L’assureur fixe son tarif en considérant que l’assuré lui a dit la vérité, s’il s’avère qu’il lui a été caché des éléments au moment de la souscription (voire en cours de contrat pour certains éléments : sports, changement de professions...) deux cas de figure peuvent se présenter :
* l’assureur considère que l’omission était de bonne foi, il applique l’article L113-9 du Code des Assurances : le sinistre n’est pas indemnisé, mais le contrat se poursuit.
* l’assureur considère que l’assuré était de mauvaise foi, qu’il a délibérément cherché à caché des informations à l’assureur et que ses informations auraient changé l’appréciation du risque : l’article L113-8 du Code des Assurances considère que le contrat est nul, il est donc réputé n’avoir jamais existé ! La compagnie conserve les primes versées à titre de pénalité et se fait rembourser toutes les éventuelles prestations qu’elle peut avoir déjà versé, y compris au titre d’un arrêt de travail précédent.
Il n’y a pas besoin de lien entre la cause de l’arrêt de travail et la fausse déclaration.
+ FERMER
Dans un contrat d’assurance le plus important ce sont les exclusions, c’est-à-dire ce qui n’est pas assuré. En effet le tarif sera souvent beaucoup plus bas si le contrat exclu tous les risques fréquents : grossesses pathologiques, affections disco vertébrales, états dépressifs...
Il ne faut pas se contenter d’étudier le tarif l’année de la souscription. Il faut demander le prix cumulé jusqu’à l’âge de la retraite. En effet de nombreux assureurs proposent des tarifs très compétitifs au départ mais ont une progression très forte des primes ultérieurement. Le piège vient du fait qu’il s’avère fréquemment impossible de changer de contrat à partir d’un certain âge du fait des inévitables antécédents médicaux.
Les modalités de calculs des indemnités en cas d’invalidité sont parfois très complexes, il ne faut pas hésiter à demander une simulation concrète sur la base d’un exemple.
Paradoxalement la franchise avant le début d’indemnisation est beaucoup moins importante que la durée d’indemnisation. Il est plus facile de perdre un mois de revenus en ayant une franchise de 30 jours que de rester deux ans en arrêt de travail avec un contrat limité à 365 jours.
+ FERMER
Avant de chercher à optimiser des placements, il nous parait naturel de veiller à ce qu’en cas de « coup dur » les revenus de la famille soient le moins impactés possible. Il s’agit donc d’un des socles sur lequel peut se bâtir un patrimoine.
Les offres sont très nombreuses et très complexes à déchiffrer, alors que l’enjeu est majeur. Se faire assister par un cabinet spécialisé permet de consulter plusieurs compagnies et d’adapter les garanties aux besoins réels.
Le choix du niveau des garanties est un point très important. En matière d’assurance de personnes il ne faut pas avoir une approche simplement tarifaire, en tout cas pas dans un premier temps, il faut vraiment raisonner en terme de « besoin » Pour cela il faut se projeter dans des cas concrets :
• que se passe t-il pour moi et ma famille si je suis en arrêt de travail pendant 8 jours, 1 mois, 6 mois, 3 ans, 20 ans ? etc ...
• si je décède comment vivra ma famille ? quels seront les droits à payer ? comment s’effectuera le partage entre mes héritiers ? etc..
Tous ces points sont une illustration de l’importance de la protection sociale. L’approche globale d’un Conseil en Gestion de Patrimoine Indépendant permet de croiser les différents aspects de la question et d’apporter une réponse cohérente, couplée aux autres éléments du patrimoine.
+ FERMER
on vous propose un nouveau contrat de prévoyance individuelle. La première des choses consiste à comparer les garanties, c’est une tâche parfois très complexe.
Il ne faut bien évidemment jamais résilier un contrat en cours avant d’avoir obtenu le certificat d’adhésion du nouveau contrat, y compris avec l’abrogation d’éventuels délais d’attente.
+ FERMER
ça peut être vrai en termes de prix, la mortalité continue de baisser, le cout du risque « décès » a donc largement baissé en 20 ans, par contre l’évolution récente des taux d’arrêts de travail vient en limiter l’impact.
Par contre en termes de couverture, les dernières générations de contrats sont souvent beaucoup moins complètes en matière de sports et de pathologies couvertes. Une concurrence effrénée à été lancée par les banques qui pour prendre des parts de marché ne se sont bien souvent basées que sur le prix. Or la seule façon de diminuer significativement le prix d’un contrat consiste à exclure certaines garanties ou à en limiter la portée.
Il faut donc être très prudent.
+ FERMER